Les Éditions du Pangolin ont le plaisir d’annoncer la parution d’un ouvrage majeur : La République Démocratique du Congo à travers le prisme de ses écrivains de Séverin Bamany Mobely. Issu d’un travail de recherche approfondi, ce livre propose une réflexion comparatiste sur la littérature congolaise contemporaine, en s’appuyant sur deux figures incontournables : Charles Djungu-Simba K. et Prosper Gubarika wa Mudi-Wamba Vanella
Dans cet essai, Séverin Bamany Mobely explore comment la littérature, au-delà de son esthétique, devient un espace de questionnement sur l’histoire, la société et l’avenir du Congo. Les textes étudiés révèlent les fractures et les espoirs d’un pays aux multiples défis, mais aussi la capacité de ses écrivains à dire le réel, à le transformer et à le transmettre.
L’auteur met en regard les œuvres de Charles Djungu-Simba K., écrivain et critique reconnu pour son engagement et sa lucidité, et celles de Prosper Gubarika Nkoji, dont l’écriture ouvre de nouvelles voies dans la réflexion sur l’identité, la mémoire et la modernité africaine. Ce dialogue critique éclaire les convergences et les différences entre deux trajectoires littéraires emblématiques, tout en donnant au lecteur une clé de lecture sur les enjeux actuels de la création en République Démocratique du Congo.
Au-delà de l’analyse, ce livre se veut une contribution à la critique littéraire africaine. Il met en lumière le rôle des écrivains congolais comme témoins, éclaireurs et bâtisseurs de conscience collective. Séverin Bamany Mobely y déploie une écriture à la fois rigoureuse et accessible, permettant à la fois aux chercheurs, aux étudiants et aux passionnés de littérature africaine d’y trouver un outil précieux de compréhension.
Publié en 2025 aux Éditions du Pangolin, La République Démocratique du Congo à travers le prisme de ses écrivains invite à une relecture du Congo contemporain à travers les mots de ses auteurs. C’est un livre essentiel pour quiconque s’intéresse à la littérature africaine, à la critique comparatiste et à la place des écrivains dans la construction d’une mémoire nationale.